mercredi 31 juillet 2013

De l'immigré "pas cher" à l'immigré "gardien de troupeau"

J'ai beau exécrer au plus au point le système dans lequel nous vivons actuellement, j'avoue que j'admire l'efficacité dont il a fait preuve pour inculquer ces automatismes chez le citoyen lambda
http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2013/08/09/patte-blanche-5137961.html




Pour les élites, l'immigré n'est désormais plus intéressant par son prix de revient (les usines délocalisées à l’étranger suffisent pour maintenir des bénéfices exorbitants) mais parce qu'il va créer la terreur au sein de la population indigène blanche.


cette population blanche va, grâce au lavage de cerveau médiatique :

1-  croire que son insécurité et son cadre de vie (dévasté) sont dus uniquement à ces immigrés.
2- voter pour ceux qui vont le mieux semblait contenir ce problème (assistanat et subventions à gogo avec la gauche au pouvoir, quartiers sécurisés avec la droite, baisse promise de l'immigration avec l’extrême droite) alors que le problème fondamental n'est pas là.

Le problème est : pourquoi veut on maintenir le peuple en terreur ?

Pour conserver le pouvoir !

Paradoxalement, il se peut que la révolte légitime des blancs contre les sauvages qu'on lui impose depuis 30 ans soit prochainement autorisée par l’élite : en effet, si le système possède un autre moyen de terroriser la population (par la cyber-surveillance, la vidéo surveillance, les radars, les puces électroniques sous cutanées par exemple) alors le peuple sera autorisé à se débarrasser de ce péril africain (pour être remplacer immédiatement par le péril électronique). L'africain deviendra même le punching-ball désigné par les gouvernements pour mieux détourner l'attention et occulter les vrais problèmes.

En 1992, Samuel Francis introduit le concept d'anarcho-tyrannie dans le vocabulaire politique et le définit de la façon suivante :
"Nous refusons de contrôler les véritables criminels — volet anarchique — et nous nous rabattons sur les innocents — volet tyrannique ».

Les lois censées protéger les citoyens contre les criminels ne sont souvent pas appliquées, même si l'état est parfaitement en mesure de le faire.

L'état instaure progressivement tyrannie et oppression par l'application de lois telles que :

* la criminalisation de ceux qui respectent la loi,
* l'imposition (fiscale) exorbitante,
* une réglementation bureaucratique,
* le viol de la vie privée
* le sabotage d'institutions sociales, telles que la famille ou les écoles de proximité,
* l'imposition du contrôle des esprits par le truchement de la "formation à la sensibilité" et la rivalité multiculturelle,
* la création de lois telles que l'incitation à la haine ou contre la détention d'armes à feu, le désarmement des citoyens qui sont par ailleurs respectueux des règles (des lois qui n'ont en revanche aucun impact sur les criminels violents qui obtiennent des armes de manière illégale).

Samuel Francis avance que cette situation concerne l'ensemble des États-Unis et l'Europe."


Rappel des différentes phases des immigrés africains en Europe :

phase 1 : l'immigré africain "pas cher" 1950 - 1980 : l'ouvrier français ne manifeste pas contre le pouvoir car il risque de perdre son job face à l’immigré (pas cher) africain

phase 2 : l'immigré africain "gardien de troupeau" 1980 - 2015 : l'ouvrier français ne manifeste pas contre le pouvoir et reste chez lui afin de ne pas se faire agresser par l’immigré africain (qui habite à coté de lui et dont la police/justice assure la protection).

phase 3 : l'immigré africain "punching ball" 2015 - 2030 : l'ouvrier français ne manifeste pas contre le pouvoir car il est persuadé (encouragé par le gouvernement) que tout ses problèmes viennent de l’immigré africain.

Gouffre

Ne pas plaire aux femmes. Le temps ne fait rien à l’affaire. Je vois des gamines magnifiques, des femmes élégantes et je sais que jam...