dimanche 26 février 2012

Elles en n'ont rien à foutre de toi.



» C’est dégoûtant d’écrire sur soi-même, moi, moi, moi ; et se faire sympathique ce serait plus dégoûtant encore, il vaut mieux se présenter au public sous un jour ignoble. Il faut que le caractère soit plus vrai que lui-même. »
L.F. Céline, Interview avec Olga Obry, Le Phare-Dimanche, 1957.



je n'en peux plus d’être seul. Je n'ai le "droit" à personne, à aucune amie ?

Aucun regard bienveillant ne se pose jamais sur moi. Je marche dans les rues de Paris, et aucune femme ne s'attarde sur ma personne... Tiens, une blonde se retourne après mon passage .. Zut ! en fait, elle mate le mec qui marche à mes cotés : son regard se ferme quand elle voit que j'ai surpris son attitude. Elle me hait déjà.
- "Même pas en rêve ! espèce de nabot" semble crier tout son être à mon égard.

Bien sûr, j'ai eu quelques brèves relations ces vingt dernières années. En faire le récit serait facile tant il ne concerne qu'une petite dizaine de femmes.

Quelle horreur rétrospective quand je repense aux efforts de drague que j'ai fourni, tous ces repas ou apéritifs offerts, toutes ces sorties et cette courtoisie forcée ... pour quoi ? faire l'amour à 10 femmes en 20 ans ? 10 femmes, hystériques ou perverses pour la plupart d'entre elles. Tous ces efforts, tout cet amour, et si peu de sentiments en retour. Combien de nuits ai-je passé avec ces femmes en 20 ans ? 30 nuits, 35 peut-être en tout ?

35 nuits blottis contre une femme et... 7300 (sept mille trois cents) nuits seuls. Effrayant vertige de la solitude subie.


Je suis fait pour être un étalon priapique et j'ai le physique d'un canard. Je suis socialement programmé pour être un "soumis", un "intouchable"... et j'ai la mentalité d'un anarchiste millionnaire. Cocktail explosif.


Mes relations avec les femmes ne peuvent être que catastrophiques. Je rencontre souvent des mecs soumis : ils ont tous une femme, belle parfois. Mais je ne peux pas être comme eux. Mes copines n'ont jamais accepté ma grande gueule : je les comprends, tant elles ont le choix des mecs ! Autant prendre un  mec beau et soumis, non ? Regardez aussi comment les femmes européennes maltraitent leurs copain noirs ou arabes! affligeant !


Ah! les insultes : oui ! par millions. Des remarques plus sadiques les unes que les autres. "Nos" femelles "chantres de l'Egalité et du Respect partout dans le monde" sont les premières qui vous assassinent parce que vous êtes moche. Sans autre raison. Une vulgarité de comportement qu'il faut feindre de supporter sous peine de ne pas avoir le droit de copuler...même avec la petite laide du quartier. (N'oubliez pas que la laide a le droit de vous traiter de moche mais l'inverse n'est pas vrai !)

Et puis l'intelligence. On nous éduque en nous faisant croire que les femmes préfèrent les mecs intelligents aux mecs idiots : c'est faux.
Oui: les femmes préfèrent les hommes riches aux hommes pauvres.
Oui, elles préfèrent les hommes grands aux hommes petits.

Mais l'intelligence les tétanise.

A mesure de la progression de nos bavardages, je ressens toujours chez mon interlocutrice monter cette peur, progressive, d’être découverte, d’être intellectuellement mise à nue, de faire voler en éclat ses contradictions et son hypocrisie, de lui ôter son masque et montrer à ses amies combien mon interlocutrice est potentiellement une merde. Voila ce qui l’effraie.
Un homme débile, sournois ou menteur recueille évidemment beaucoup plus d'attention que moi. Mais je n'y arrive pas. Et pourtant, j'ai ce besoin d'aimer et de baiser qu'il m'est impossible de calmer. Les femmes en profitent car elles sentent ma faiblesse, nos faiblesses.


J'ai toujours été choisi pour palier provisoirement le départ d'un "chéri" ou pour venger l’infidélité d'un mari. Je me suis quelques fois attaché à ces femmes, tout en sachant que je finirai par morfler de cet amour unidirectionnel. Et, croyez moi, j'ai morflé...


Du coup, une seule évidence, terrible, se dégage de mes relations : "mes" copines en avaient rien à foutre de moi.

Vraiment.


La société occidentale européennes dans laquelle je suis obligé de vivre m'agresse en permanence.

- Je suis un petit blanc gentil et respectueux : autant vous dire que je suis la cible idéale de ces merdes de racailles noires et arabes.
-  Je suis un homme français, c'est à dire l’être maléfique pour toutes les associations revendiquant "l’Égalité".
- Je suis petit, blanc et moche: c'est l'idiot désigné et permanent des spots de publicités qu'ingurgitent les femmes blanches de MON pays.
- Mon argent est suspect auprès des pauvres, tout comme il l'est à l’élite.
- Et surtout, mon raisonnement est absolument intolérable pour toute la société, et en particulier pour la femme blanche européenne, celle pourtant à qui j aimerais tellement plaire..

Ma profonde colère vient de là. Ma souffrance actuelle est horrible. Je ne sais pas où elle me mènera.


"Fais tout haut l'orgueilleux et l'amer, mais, tout bas, Dis moi tout simplement qu'elle ne t'aime pas !" Cyrano de Bergerac. E.Rostand

vendredi 10 février 2012

Millénium, cette merde cinématographique

Millénium.

La critique de cinéma n'est pas une spécialité locale sauf quand ça prête à une bonne tranche de rigolade.

Voici donc pour vous :

"Millénium" de David Fincher.

Rarement vu un film aussi tendancieux et sournois (et finalement comique).

Déjà, première mauvaise impression : j'avais repéré le bouquin sur la table de chevet d'une blonde de 40 ans anciennement jolie que je niquais de temps en temps. Cette fille percevait 10.000 euros de rentes par ses parents tous les mois. Autant vous dire qu'elle était complétement décalée par rapport à la vraie vie des gens... Elle ne bossait pas et avait un mépris sans nom envers les pauvres.
(Je tiens à rassurer papa, maman et mon chien : Seul son joli cul m’intéressait.)
Bref, ce bouquin millénium était sur sa table de chevet. Ce qui augurait mal de la qualité de l’œuvre.

Et, effectivement, le film est une merde.

Techniquement, c est bien réalisé, les acteurs jouent bien, la photo est jolie.

Mais l'histoire, quelle daube !

Attention, ce qui suit révèle l'histoire et donc, si tu comptes voir le film ou lire le bouquin en restant "vierge", je te déconseille de lire la suite.

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D'abord, on plonge dans le procès perdu d'un journaliste, version bobo suédois.
Le héros est donc un journaliste. Qui croit désormais qu'un journaliste puisse être un héros. Un collabo, oui, mais un héros , ???

Camp du bien = +1

Le procès l'oppose à méchant marchand d'armes (c'est pas bien) , un blond, version Anders Behring Brevik.

Camp du mal = -1

Ses preuves pour attaquer le marchand d'armes s’avérant fausses, notre tintin/journaliste perd le procès et quitte le journal pour lequel il travaille, délaissant la directrice de publication qui s’avère être aussi sa maitresse.

Un petit aparté pour signaler aux spectateurs que l’épouse officielle du héros journaliste l'a quitté quand elle a appris la liaison adultérine. Par contre,  le mari officiel de la rédactrice en chef est resté avec elle, malgré la liaison de sa femme avec un autre homme : beau retournement des valeurs de notre société en un siècle, non ?


Continuons notre histoire :

Le journaliste au chômage se fait embaucher par l'une des plus riches familles de Suède pour officiellement écrire les mémoires de la dynastie. Mais, en fait, il est mandaté pour découvrir qui a tué la nièce du patriarche en 1966. La récompense qui lui est promise : lui remettre un dossier compromettant sur le marchand d'armes et donc retrouver son honneur perdu.


Et là, accrochez-vous, parce que c'est du lourd.

On apprend que cette riche famille a collaboré avec les ... Nazis. Toute la famille était impliquée dans les trafics nazis et l’idéologie nazie (sauf, il en va de soi, le patriarche qui a demandé l’enquête auprès de ce journaliste).

On apprend que cette "famille nazie" découpe les chats (si si, véridique, le ridicule ne tue pas), qu'ils se détestent tous les uns les autres, qu'ils boivent comme des trous, qu'ils enferment des immigrées au sous-sol de leur maison pour les découper en morceau (si, si , véridique !).

Et qui nous apprend ça ? (attention, c est du Très Très lourd) : une sorte de "punk à chiens" de 20 ans, experte en informatique sur Apple (sic) et camera vidéo ( très très crédible) qui se fait violer par son tuteur (un gros porc de blanc, cela va de soi).

La vache ! ça, coco, faut avoir les couilles pour écrire de telles conneries ! Plus c'est gros, plus ça passe ... c'est ça ?

Donc, nous avons d'un coté :

camp du bien:
le beau journaliste athée ou pseudo-juif.
La punk à chiens, rebelle de supérette.
La rédactrice en chef qui trompe copieusement "son mari qui ne bande plus" (c'est elle qui sous entend cette idée en parlant à son amant)
Le patriarche non-nazi

le camp du mal:
Toute la famille "riche et nazi" (sauf le patriarche)
le vendeur d'armes, ancien employé de la famille "riche et nazi".

Quand le héros découvre que la nièce n’était pas morte (extraordinaire surprise théâtrale, jamais employée jusque là) mais qu'elle s’était enfuie dans l'anonymat pour fuir les viols que son père nazi lui faisait subir ... (oui, je sais, c'est de plus en plus crédible), il espère obtenir sa récompense et faire tomber le marchand d'arme qui l'avait humilié.

Mais c'est en fait uniquement grâce à la "punk à chiens" (se transformant de manière absolument extraordinaire en "blonde atomique" !) qu'il va réussir à faire tomber son ennemi. Celui-ci finira tué par des membres de la mafia (utilisation de "tiers" pour effectuer les basses besognes : le procédé est connu dans certaines sectes ou religions).

la punk, devenue amoureuse, espère pouvoir vivre avec le journaliste... mais celui-ci est "récupéré" par la directrice du journal.

Le film s’arrêtant sur cette image de la punk triste de ne pas avoir pu "harponner" le journaliste.

Donc, rapide analyse du film :

- Les riches sont souvent des nazis, surtout en suède (d'ailleurs, le nom d'IKEA est négligemment lâché dans le film...ça sent la vengeance "éternelle")
- Les nazis tuent des chats et des immigrés.
- Les nazis violent leurs propres enfants.
- Les nazis sont obsédés  par tuer et violer des juives.
- Les bobos sont des gens sympas et courageux, voire rebelles.
- La femme bobo peut baiser avec qui elle veut et dire le plus grand mal de son mari car ... elle en a le droit.
- L'homme bobo doit endurer la souffrance de supporter une femme hystérique et des enfants distants (et il doit s'excuser du comportement de ceux-ci, faire acte de contrition et demander pardon à toute occasion).
- Les clochards/ "punk à chiens" sont en fait des gens bien et super intelligents. Leur mauvais caractère vient du fait qu'ils se font violer par leur tuteur : attention, le méchant tuteur est toujours un blanc, (sinon, c est un bon tuteur...suivez ! nom de nom !!!). Les amis : la prochaine fois que vous voyez un punk, faites-lui la bise de ma part.
- Un homme de 50 ans qui baise une gamine de 20 ans est un gros porc, SAUF quand cet homme est un journaliste (ou un politicien genre DSK ou Cohn-Bendit). De toutes façons, quand cela se produit, c'est parce que c'est la gamine (ou Nafissatou) qui a insisté.
- Être marchand d'armes, c'est caca. Les armes ne servent à rien car nous vivons chez les bisounours. Nous sommes tous citoyens du monde (sauf les iraniens, sont pas gentils eux... Bouh.......).
- un nazi est un chrétien intégriste.
- L’intégrisme religieux ne peut être que chrétien.
- le nazisme est un gêne qui se transmet automatiquement de génération en génération. (si ça c'est pas une version raciste de l’espèce humaine ... remarquez, c'est le seul type de racisme accepté et ... "glorifié" par les médias, donc..)
- les nazis doivent toujours mourir à la fin. Il ne peut y avoir de salut ou de pardon pour un nazi. La mémoire est imprescriptible (rappel : un nazi transmet toujours ses idées à ses enfants... donc il est également logique et sain de tuer les enfants et petits enfants de nazi, dès la naissance si possible).

Analyse 2 :
Ce qui  serait marrant, pour en revenir à mon ex-"copine" blonde, riche héritière débile dans sa résidence de luxe hyper sécurisée,  c'est d'imaginer ce qui l'avait fait le plus mouiller en lisant ce bouquin de merde :

- s'imaginer gamine "punk à chiens" en train de se faire sauter par un journaliste 30 ans plus vieux.
- s'imaginer "punk à chiens" en train de faire violer et sodomiser par le tuteur, un gros porc blanc.
- s'imaginer rédactrice de magazine et se taper le journaliste tout en dénigrant son copain officiel.
- s'imaginer être dans le camp du Bien et combattre le Mal.

       ????

samedi 4 février 2012

Évitez les jolies filles de 40 ans !

Évitez les jolies filles de 40 ans !

"Plus largement, le mariage est devenu la manière qu’ont les femmes de profiter financièrement des hommes par l’attribution d’une rente à vie. La conception ancienne du mariage est très nuisible aux hommes dans une société qui n’a plus rien à voir avec celle de nos grand-parents, parce que les obligations masculines se sont accrues, tandis que les obligations féminines ont quasi disparues."
http://ilikeyourstyle.net/2012/09/19/barbarin-tu-sais-que-cest-un-putain-de-rouge-mec/

 

Il est des informations qui font sourire, même le plus désabusés des pigistes de la blogosphère. habituellement, le flot continu d'informations, avec sa petite musique anarcho-tyrannique, n’éveille plus chez moi que des soupirs et l'envie irrépressible de prendre le premier avion pour visiter les dictatures fascistes du sud-est asiatique.

Après la culpabilisation imposée aux européens sur les "pov'africains qui ne cherchent qu'à enrichir nos pays et notre culture, dans la paix, la joie" et mon cul sur la commode, voici une nouvelle agression pour l'homme blanc :

http://www.leparisien.fr/tv/l-appel-au-secours-de-mallaury-nataf-03-02-2012-1843663.php

Voila donc une connasse blonde, qui se foutait de tout et de tout le monde à 20 ans et avait une vie de rêve. Le genre de salope qui nous traitait de connard/nabot/smicard, et qui découvre à 40 ans que la vie, "c'est pas cool".

Avant tout, il faudra remarquer la supercherie de l'information : vous en connaissez vous beaucoup des femmes SDF ? Mieux  : vous en connaissez beaucoup des femmes SDF de 40 ans ? vous en connaissez beaucoup des femmes minces et blondes SDF ?

Vous en connaissez beaucoup des SDF avec les doigts manucurés ??? (regardez bien la photo). Les "journalistes" nous prennent vraiment pour des débiles !

Évidemment, que veut dire SDF pour cette conne ?

ça veut dire ne pas pouvoir acheter ce qu'elle veut quand elle veut.
Ça veut dire ne pas partir au soleil quand il fait froid et devoir dire merci quand quelqu'un vous rend service. Tout ça, cette idiote ne le savait pas car, jusqu'à maintenant,  sa vie était un rêve : pas besoin de bosser,

Avant, il y avait toujours un mec qui vous invitait au restaurant, vous offrait des vacances sur des yatchs, vous invitait à des fêtes grandioses. Il y avait toujours un glandu prêt à payer votre loyer, à vous couvrir de cadeaux.


Et puis, un jour, ça se tasse.

Les mecs riches, ces enfoirés, préfèrent des filles plus jeunes. Les sorties offertes se font plus rares, les restaurants sont moins étoilés, les vacances "tout frais payé" ne le sont désormais que contre un rapport sexuel.

Alors, ces connes, elles inventent n'importe quoi pour retrouver leur vie d'avant (dans le cas de la débile du reportage, il y aurait un "complot anti-juif" !! ... remarquez, ça change, habituellement, c'est un complot anti-musulman...)

Et, maintenant, il faudrait qu'on s'apitoie sur leur sort ???? "crève, charogne !"


Dans mon ancienne profession, on devait loger des centaines de locataire chaque année. Officiellement, évidemment, aucune discrimination ne devait avoir lieu mais, dans les faits, il y avait un ordre et un seul ordre :

- Ne jamais prendre comme locataire une femme jolie de 40 ans.

Contrairement à ce que vous pouvez croire, les étrangers "sans papier" étaient les bienvenues dans le système économique immobilier car, de par leur situation, ils payaient leur loyer. En effet, au moindre défaut de paiement, c’était la police et l'expulsion : des candidats idéaux pour le système capitaliste en général, (et les administrateurs de biens en particulier).


Alors pourquoi ne pas prendre comme locataire une jolie femme de 40 ans ?

Parce que quasi-systématiquement, la femme jolie de 40 ans qui cherche un appart, c'est parce qu'elle s'est fait virer par son mari/copain. Tout simplement parce que cette femme, grâce à sa beauté, n'a jamais bossé dans sa vie et elle ne sait pas ce que c'est que de payer, je veux dire "payer de sa propre poche".

Les quelques expériences que nous avons vécues ont toujours eu le même déroulement :
- le 1er chèque de loyer était fait par l'ex_mari (sans doute très heureux de se débarrasser de cette "vieille")
- le dépôt de garantie payé par un "copain" pour dépanner (mais qui allait vite déchanter...)

et les mois suivants : en impayés !!

Ce qui était marrant, c’était quand vous appeliez ces femmes pour le premier impayé et de demander gentiment le versement du chèque ou du virement,  nous avions droit à (avec quelques variantes) :

- "mais pourquoi m'appelez-vous? Pour qui vous prenez vous ? Je vous paierai quand j'aurai des sous. De toutes façons, c'est mon EX qui va payer, je vais lui faire payer à ce con... oui, c'est moi qui ai pris le bail... et alors? ....non, c'est pas la peine de me rappeler, je ne vous paierai pas..." 

Nous comprenions, après quelques épisodes comme celui-ci, l’évidente raison pour laquelle nos supérieurs nous conseillaient de ne pas louer des appartements aux jolies femmes de 40ans.

vendredi 3 février 2012

Leçon de socialisme appliqué.


Une classe était entièrement convaincue  que le socialisme  était une idéologie qui  fonctionnait.

Le  professeur dit lors  :
“OK   donc, nous allons mener une expérience du  socialisme  dans cette classe. A chaque  contrôle, on fera la moyenne  de toutes les  notes et chacun recevra cette note. Ainsi, selon vous,   personne ne ratera son examen final et personne  ne  caracolera en tête avec de très  bonnes notes.”

Après  le 1er contrôle, on fit la moyenne  de la classe et tout  le monde obtint un  13/20.
Les   élèves qui avaient travaillé dur n’étaient pas  très  heureux au contraire de ceux qui  n’avaient rien fait et  qui, eux, étaient  ravis. 
A  l’approche du 2ème contrôle, les élèves  qui avaient peu  travaillé en firent encore  moins tandis que ceux qui  s’étaient donné  de la peine pour le 1er test décidèrent  de  lever le pied et de moins travailler. La moyenne  de  ce contrôle fut de 9/20 !    Personne n’était   satisfait…
Quand  arriva le 3ème contrôle, la moyenne  tomba à 5/20. Les  notes ne remontèrent  jamais, alors que fusaient  remarques  acerbes, accusations et noms d’oiseaux,  dans  une atmosphère épouvantable, où plus  personne ne voulait  faire quoi que ce soit  si cela devait être au bénéfice  de  quelqu’un  d’autre.

A  leur grande surprise, tous ratèrent leur examen  final.  Le professeur leur expliqua alors  que le socialisme  finit toujours mal car,  quand la récompense est  importante,  l’effort pour l’obtenir est tout aussi important, tandis que, si on confisque les  récompenses,  plus personne ne cherche ni  n’essaie de réussir.

Gouffre

Ne pas plaire aux femmes. Le temps ne fait rien à l’affaire. Je vois des gamines magnifiques, des femmes élégantes et je sais que jam...