jeudi 7 février 2013

De la guerre sino-japonaise


"On est tombé en panne la nuit: pneu crevé. On a téléphoné. Le réparateur flamand a géré ça en deux minutes puis s’est barré avec cette phrase « voilà tout est en ordre ». C’était complètement extraordinaire de précision, de huilage, d’adresse et de maîtrise. Sa dépanneuse, ses outils, sa vitesse, son langage. Moi c’est exactement ça qui me force tellement à aimer cette putain de race blanche. Plus c’est blanc mieux c’est voilà exactement ce que je constate tous les jours. Amuse toi à tomber en panne en Provence, en Algérie, n’importe où, tu vas voir.

Ce qui est à se taper la tête contre les murs aussi, c’est leur humilité à ces types. Toujours à remercier, à s’excuser, à proposer la meilleure place. Comme si le niveau de compétence et de savoir était inversement proportionnel au niveau d’orgueil.
Mais tous ces merdes là, pleins de jalousies et d’ingratitude, en réalité ils compensent par du baratin ce qu’ils n’arrivent pas à accomplir de façon pratique. Qu’une seule fois un seul d’entre eux enclenche l’engrenage de monter une entreprise véritablement excellente qui embauche des blancs, qui véritablement « crée une richesse », innove, rende des services et je ferme ma gueule totalement."
http://ilikeyourstyle.net/2013/02/12/envoyer-de-cheres-pensees/



Et si les japonais et les chinois, pour X raisons, se faisaient mutuellement la guerre (avec armes atomiques si possible) et, par conséquent,  se sabotaient eux-même ... comme l'on parfaitement fait les européens entre eux au 20eme siècle ?

Qu'en serait il de leurs économies ?
Qu'en serait il de leur prestige international ?
Qu'en serait il de leur peuple (les faire sentir "coupable de tout" comme le sont les peuples européens) ?


La renaissance de l'occident passe peut-être par là : attendre que les autres civilisations fassent les mêmes conneries que nous ... avec un siècle de retard.





Gouffre

Ne pas plaire aux femmes. Le temps ne fait rien à l’affaire. Je vois des gamines magnifiques, des femmes élégantes et je sais que jam...