"c’est lorsque j’ai vu la jolie jeune fille que je convoitais depuis le début se faire presque littéralement culbuter sur le dossier d’un immonde sofa d’une couleur indéfinie par un cinquantenaire moche et bedonnant et après avoir refusé par trois fois mes avances auparavant que j’ai su que les clubs échangistes n’étaient pas fait pour moi."
http://ilikeyourstyle.net/2012/08/18/echangisme-bonheur/
Dimanche matin, Paris. tchaikovsky doucement dans les oreilles, le soleil brille, la journée sera longue.
Pas de copine. Pas d'amis. Un travail à la con. De l'argent juste assez pour survivre.
Du bruit dans ma rue. 2 ara*bes tournent autour d'un scooter garé. le touchent. Ils le veulent. Ils commencent à regarder le cadenas qui le retient au poteau.
Ils me voient les regarder et ils réagissent comme d'habitude :
"Eh ! Fils de pute ! keske tu regardes ? casse-toi fils de pute !"
Je repense aux vidéo pornos d'hier soir : des charmantes jeunes blondes, innocentes et fraîches (le genre de filles dont je n'ose même pas rêver obtenir un sourire, un jour), se faisaient enculer par des n*ègres dans des villas de luxe. (film juif produit par Marc Herskovits alias Marc Dorcel).
Mixez le sublime tchaikovsky, ma solitude totale, les ar*abes voleurs, le luxe inaccessible et les nè*gres à qui des j*uifs donnent nos filles/femmes (et donc notre civilisation) : que donnera le cocktail ?
Mon cerveau explose. Cette société veut faire de moi un kamikaze.