mercredi 16 mai 2012

Un monde qui change sous nos yeux

"L’un des facteurs du divorce de masse, est je pense le fait que les individus se leurrent souvent sur ce qu’est l’amour. De la désillusion naît ensuite le divorce. Le Système, dois-je ajouter, qu’il le fasse consciemment ou pas, fait tout pour que les êtres aient une conception erronée de l’amour. Ainsi par exemple, les love stories des films ou des séries, ne sont pas des histoires d’amour mais des histoires de passions. L’amour, qui est censé être le précepte directeur de notre vie, est malheureusement pour l’individu contemporain un parfait inconnu (...)
L’amour, aux yeux de la majorité passe pour être un sentiment. Rien n’est plus faux : l’amour est un état. Ce qu’un homme ressent pour sa mère, ses enfants, sa femme ou le Christ quand il est croyant, relève du même phénomène, l’amour ; l’amour qui est le don de soi. On peut juger de notre amour pour une personne en fonction de la capacité de sacrifice que nous avons pour elle. L’amour, je le répète, est le don de soi."
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Adrien-Abauzit-19354.html

Un élément nouveau avec la montée progressive d'internet dans les métiers traditionnels, c'est le renversement des compétences telles qu'elles étaient hiérarchisées autrefois.

Par exemple, l’accès facile à une multitude de connaissance n'oblige plus à passer par un expert (en droit, en comptabilité, en informatique). De fait, un employé curieux peut devenir en quelques minutes très compétent sur un domaine en particulier.

Prenez un syndic immobilier par exemple : il y a quelques années, les vieux faisaient la pluie et le beau temps dans l'entreprise car la jurisprudence leur était familière. Désormais, même le stagiaire peut, en quelques clics, avoir la totalité de ces informations sur internet. Le vieil expert se retrouve du coup relégué au rang d'inutile vieux con.

La compétence n'est désormais plus basée sur une montagne de connaissance mais sur la faculté à gérer un accès efficace aux différents savoirs.


Gouffre

Ne pas plaire aux femmes. Le temps ne fait rien à l’affaire. Je vois des gamines magnifiques, des femmes élégantes et je sais que jam...