vendredi 28 juin 2013

Je suis Clémentine Autain

"...Tout ça pour en venir à ma prédiction linguistique. Dans la mesure où changer radicalement de politique économique est tabou (jouer sur sa monnaie comme les autres, faire du protectionnisme autant que les autres, arrêter de tout taxer comme beaucoup d’autres, etc..), aucune amélioration autre que cosmétique ne peut intervenir. Comme, d’un autre côté, et malgré tous les efforts déployés depuis 50 ans, il reste encore des élèves qui sortent du système avec un bon niveau et un cerveau en état de marche, je vois bien que ces jeunes avec quelques neurones en état de faire des comparaisons vont faire : SE BARRER de ce pays de merde dans lequel leurs impôts servent à attirer les mères pondeuses africaines afin de fournir un électorat aux socialistes. Et comme ces jeunes doivent bien représenter 10% d’une génération, avec l’effet d’entraînement bien 20 ou 30 %, on va se retrouver avec un nombre de candidats au départ proche du Mali ou de l’Algérie… et nos expatriés vont se transformer en émigrés."
http://bagatellesetmassacres.wordpress.com/2013/07/06/exile-expatrie-ou-emigre/


Vous avez révélé dans un livre avoir été violée. Pourquoi transformer cette épreuve en cause politique ?
- Quand ça m'est arrivé, je n'étais pas féministe. Dans mon esprit, j'avais été victime d'un malade mental, point à la ligne. Et puis on m'a expliqué qu'un lien existait entre patriarcat et viol. J'ai lu Simone de Beauvoir, Christine Delphy. Je n'étais plus seule dans mon histoire personnelle face à un fou dangereux, mais inscrite dans une histoire sociale, celle des rapports entre les sexes. Le viol est l'expression ultime de la domination masculine. Le placer dans le champ politique, c'est le situer là où l'on peut le combattre.
Clémentine Autain, Front de gauche, interviewée par Elsa Vigoureux pour Le Nouvel Observateur



 Vous avez révélé dans un blog avoir été agressé par des africains. Pourquoi transformer cette épreuve en cause politique ?
- Quand ça m est arrivé, je n’étais pas raciste. Dans mon esprit, j'avais été victime d'un malade mental, point à la ligne. Et puis on m'a expliqué qu’un lien existait entre immigration et agression. J'ai lu Nabe, Soral, Zemmour. Je n’étais plus seul dans mon histoire personnelle face à un fou dangereux, mais inscrit dans une histoire sociale, celle des rapports entre civilisations. L'agression "anti-blanc" est l'expression ultime de la domination étrangère africaine ou sioniste. La placer dans le champ politique, c 'est la situer là où on peut la combattre.
auto interview.

samedi 15 juin 2013

Le monde transformé en International airport

Pour savoir ce que l’élite nous prépare pour le futur, inutile de faire appel à un voyant : il suffit de se rendre dans un aéroport international.

Notre avenir sera donc :

- un monde entièrement sous vidéo surveillance.
- des contrôles de sécurité idiots tous les 50 mètres.
- des flux d'informations télévisuels et des écrans vidéos très contrôlés
- des systèmes de transport étudiés pour vous faire payer le plus cher possible (taxi proche mais métro à 500m à pieds, avec escalier et autres enquiquinements volontaires)
- internet hors de prix avec identification obligatoire
- des vérifications corporels selon la bonne humeur du chef de la sécurité
- de la nourriture infâme et hors de prix
- une volonté permanente d’ôter tout signe traditionaliste ou régionaliste, notamment dans les boutiques.
- un matraquage publicitaire
- un melting pot de personnalités (qui ne se parlent pas et s'ignorent)
- des files d'attente différentes selon que vous soyez touriste, businessman ou de l’élite (= passeport diplomatique)
- en escale : en lounge privatisé de grand luxe (ou allongé par terre, comme une merde, si vous êtes un simple touriste... pas assez d'argent pour acheter des chaises, visiblement))
- être traité comme du bétail si vous ne faites pas partie de l’élite
- une déshumanisation assumée


Etre dans un aéroport international, c'est faire l’expérience du fascisme moderne.


Gouffre

Ne pas plaire aux femmes. Le temps ne fait rien à l’affaire. Je vois des gamines magnifiques, des femmes élégantes et je sais que jam...